Rencontrée au cours d’une table ronde spontanée à la médiathèque Jo Fourn :
La chose qui m’a le plus marquée à Ponta, c’est le jour où la médiathèque a brûlé. C’était notre deuxième maison, la mienne et celle de la plupart des habitants de Ponta qui la fréquentent. Je crois que brûler le savoir, c’est brûler aussi le futur, l’esprit critique, la compréhension du monde et l’ouverture. On doit remercier en particulier toutes les bibliothécaires qui ont réussi à reconstruire ce qu’il a été détruit.
D’autres portraits du carnet de Soazig Dréano sur cette page.
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